Laba'rack, était pensif (pour un orque) ...
Gork lui envoyai des signes qu'ils ne pouvais ignorer .... Des yeux rouge de rages brillaient dans la nuit noir ...
L'orque noir regarda son Champion Orque Azgor :
- Y son ou lé gobz ? yen a pa bocou la !
- Chef, cé ke lé gob y zon lé couille ki trembl !
- Dé vrai trouillar, on peu pa kom'té sur eu fo kroir !
- Mé gar y son pré a arachez dé jambe !
- Alor kestu fou enkor la ! Cé pour bintot !
Apres un long silence, quelque baffe distribué, Laba'rack ordonna un "assaut stratégique"
Les boulets des lance roc s'écrasèrent sur les pauvres humains, éparpillant des morceaux de chair a des mètre a la ronde !
Les chevaucheur de sanglier, accompagné du général Orque noir, s'enfoncere dans les lignes énemies, a la recherche du puissant mage, le généralissime Helmut (JB ... JB... JB est tu la ?)
C'est alors que Laba'rack leva les yeux au ciel ...
- Hé chef, ya un kaillou ki vien sur nou
- Cé kun kaillou d'merd ! On konti' nu !
A peine ces mot prononcé, la comete vint s'écrasé au pied de Gorg'Dacier, le "fidele destrier" du général.
Voyant des chevaucheur gisant mort ... Il fut pris d'une haine sans précédant, abandonna son sanglier, et ce mis a courrir frénétiquement en diréction de l'auteur de cet acte ...
Il ne fallu pas 15 seconde a Laba'rack pour trancher les pauvres humain qui le séparait d'Helmut.
- Té dégea mor !
Le pauvre humain eu juste le temps de se retourné, que la Hache de l'orque noir lui avait déja tranché le bras ... Dans un dernier geste de bravour, le mage libéra toute la puissance qu'il lui réstait ...
Mais Laba'rack résista, Gork l'aidant un peu, et frappa le mage du plat de ca hache.
Le crane de l'humain fut broyer sur le coup, on ne pouvai reconaitre Helmuth qu'a la couleur de sa baguette ...
- T'in, jé enkor frapé for ! Jpouré pa la prendr c'et tete la !
Poussant un Cri de victoire en faveur de ses Dieux, il fini d'achevé la bataille ....
Mais cette foi nombreux furent les peaux vertes qui trépassèrent ... Mais Azgor, dans un éclat de Génie ... cria :
-Hey ! Ce soar, ya plu's a mangé ! fo tout bouffé, ky rest pu rien ! Ok ?
Et la marré verte pris pied dans ces ruines encore fumante, attendant d'autre signe des dieux, pour continuer leur massacre ...